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Max Verstappen critique le choix de l’aileron arrière de Red Bull à Las Vegas

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Lors des qualifications du Grand Prix de Las Vegas, Max Verstappen s’est contenté d’une cinquième place, une performance inhabituelle pour le champion en titre.

Ce résultat s’explique en grande partie par le choix technique de Red Bull, qui n’a pas conçu d’aileron arrière à faible traînée, un élément crucial pour les circuits à haute vitesse comme Las Vegas et Monza.

Malgré cette contre-performance, Verstappen reste en bonne position pour sécuriser son quatrième titre mondial, à condition de ne pas perdre plus de deux points face à son rival Lando Norris, qui s’est qualifié juste derrière lui.


Verstappen critique les priorités de Red Bull

Après les qualifications, Verstappen n’a pas caché sa frustration envers les décisions stratégiques de son équipe selon crash.net:
« Nous avons décidé de ne pas fabriquer [un aileron arrière à faible traînée]. Cela date déjà de 2022. Avec le plafond budgétaire, il faut faire des choix et nous avons redéfini nos priorités. Cela donne l’impression que nous avons sacrifié deux week-ends de course, car on perd trop sur les lignes droites. »

Le Néerlandais a également évoqué les difficultés rencontrées pour optimiser la fenêtre de fonctionnement des pneus, un problème récurrent sur ce type de circuit. Il a néanmoins reconnu que l’équipe avait tiré le maximum du matériel disponible en qualifications.


Une stratégie à revoir ?

Bien que les règles actuelles expirent à la fin de 2024, Verstappen a suggéré que Red Bull pourrait repenser son approche pour mieux s’adapter aux circuits rapides à l’avenir.

En attendant, le pilote devra composer avec ces limitations techniques lors de la course, tout en capitalisant sur son expérience pour rester en tête du championnat.

Albert Joergensen
Mon nom est Albert Jørgensen. Je suis journaliste pour formule-1.ca, et j'ai toujours voulu travailler dans le monde de la Formule 1 et du sport automobile. Cela a été mon rêve depuis que je l'ai découvert à l'âge de 12 ans avec mon père. Mais devenir pilote de course, cela ne s'est jamais réalisé, alors j'ai dû trouver un autre chemin pour entrer dans ce milieu. Il y a un an, j'ai découvert qu'il y avait un vide concernant les nouvelles de Formule 1 en France et au Canada. Lorsque j'ai vu cela, j'ai décidé de combler ce vide avec des articles et des nouvelles de première classe. C'est pourquoi je rédige désormais quotidiennement les dernières nouvelles de la Formule 1 pour que les Français puissent également profiter de cet incroyable sport que nous connaissons tous.