La FIA envisage une sanction pour Leclerc après un mot déplacé
Charles Leclerc, pilote Ferrari, pourrait être sanctionné par la FIA pour avoir laissé échapper un mot vulgaire lors de la conférence de presse officielle qui a suivi sa troisième place au Grand Prix de Mexico.
L’incident a rapidement suscité l’attention des autorités de la FIA, qui examinent la possibilité de sanctionner ce comportement avant le début du Grand Prix de São Paulo.
Lors de la conférence de presse, alors qu’il décrivait une manœuvre où il a dû reprendre le contrôle de sa voiture suite à une perte d’adhérence, Leclerc a laissé échapper un mot grossier avant de réaliser son erreur.
Une réaction rapide qui pourrait jouer en sa faveur
L’incident rappelle celui de Max Verstappen, qui avait reçu une sanction de la FIA pour une infraction similaire lors d’une conférence de presse à Singapour.
Cependant, Leclerc s’est immédiatement excusé avec humour, minimisant peut-être la gravité de l’incident.
« Désolé ! Oh non ! Je ne veux pas rejoindre Max », a plaisanté Leclerc, en référence à la sanction de Verstappen sur RN365.com.
D’après certaines sources, la réaction rapide de Leclerc pourrait inciter la FIA à adopter une approche plus clémente, envisageant potentiellement une simple réprimande.
Cependant, la décision finale sera basée sur l’interprétation du Code Sportif International, dont toute infraction pourrait malgré tout mener à une sanction officielle.
Une décision de la FIA attendue avant le prochain Grand Prix
La FIA rendra son verdict d’ici jeudi, juste avant la journée de presse du Grand Prix de São Paulo. Cette décision déterminera si l’écart de langage de Leclerc nécessitera une action disciplinaire ou si son mea culpa immédiat suffira à clore l’incident.
Pour Leclerc, l’incident met en lumière la pression constante qui règne dans les moments de débriefing, où chaque mot peut être scruté et interprété par les instances dirigeantes du sport.