Verstappen et Ben Sulayem discutent avant le GP du Qatar
Max Verstappen, fraîchement auréolé de son quatrième titre mondial, a récemment rencontré le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, en marge du Grand Prix du Qatar.
Ce rendez-vous, révélé par les médias néerlandais, aurait eu lieu à l’initiative du clan Verstappen, désireux de clarifier certains différends.
un contexte de tensions récentes
Ce tête-à-tête intervient dans un climat où Verstappen a suscité quelques remous au sein de la FIA. Lors de la conférence de presse précédant le Grand Prix de Singapour, le pilote de Red Bull avait lâché un juron, provoquant une réaction immédiate de la FIA, qui avait déjà exhorté les pilotes à limiter ce type de langage.
La sanction imposée à Verstappen avait pris la forme d’un « service communautaire » inhabituel, et le pilote avait répliqué en réduisant au minimum ses interactions médiatiques ce week-end-là.
remaniements à la fia
Outre les tensions avec Verstappen, la FIA traverse une période de turbulences internes. Niels Wittich, directeur de course en Formule 1, a été écarté après le Grand Prix de São Paulo, et Janette Tan, promue récemment à la tête de la Formule 2, a également vu sa nomination annulée. Ces décisions soulèvent des questions quant à la stabilité au sein de l’organisation.
Verstappen, une pénalité au Qatar
Si certains ont spéculé que cette rencontre aurait pu être liée à la pénalité infligée à Verstappen lors des qualifications au Qatar, il semble que ce ne soit pas le cas.
Lors de ces qualifications, le Néerlandais avait été jugé responsable d’avoir ralenti de manière excessive et gêné George Russell, ce qui lui avait coûté la pole position.
une opportunité pour renforcer les liens
Alors que Max Verstappen continue de dominer la scène en tant que quadruple champion, son rôle de figure emblématique de la discipline pourrait nécessiter un dialogue renforcé avec les instances dirigeantes.
Cette réunion pourrait bien marquer une étape clé dans la relation entre le pilote et la FIA, à l’aube d’une nouvelle ère pour la Formule 1.