Hamilton chez Ferrari : une nouvelle approche prometteuse
Lewis Hamilton se prépare à un changement majeur en rejoignant Ferrari en 2024, après avoir passé toute sa carrière dans des équipes britanniques.
Si s’adapter à une nouvelle monoplace sera son principal défi, le septuple champion du monde devra aussi s’intégrer dans une équipe au fonctionnement très différent.
Hamilton pourra néanmoins compter sur une relation de longue date avec Fred Vasseur, directeur de Ferrari, et bénéficiera d’un accueil chaleureux de l’équipe italienne.
Installé dans la résidence historique d’Enzo Ferrari, il travaille déjà à renforcer ses liens avec ses nouveaux ingénieurs et apprend l’italien pour mieux s’immerger dans la culture de l’équipe, comme l’avait fait Michael Schumacher avant lui.
ferrari promet la stabilité que hamilton recherchait
Une source de frustration pour Hamilton chez Mercedes était leur politique de rotation des mécaniciens, particulièrement en 2016, une saison où il a perdu le titre face à Nico Rosberg. À l’époque, il avait laissé entendre que cette pratique avait eu un impact négatif sur ses performances.
Chez Ferrari, ce problème n’existera pas. Comme l’explique Peter Windsor, ancien directeur d’équipe en F1 selon f1oversteer.com : « Ils garderont les mêmes mécaniciens sur la même voiture tout au long de la saison. Rien de cette politique de rotation à la Mercedes. »
Cette stabilité pourrait être un facteur clé pour permettre à Hamilton de se concentrer sur son objectif : décrocher un huitième titre mondial historique.
une nouvelle dynamique en vue
Avec Charles Leclerc comme coéquipier, Hamilton devra relever un défi de taille face à un pilote qui maîtrise déjà l’environnement Ferrari.
Cependant, grâce à une équipe engagée et à une vision claire, Hamilton semble prêt à écrire un nouveau chapitre de sa carrière en visant la perfection technique et un travail d’équipe harmonieux.
Le passage de Hamilton chez Ferrari marque non seulement une transition personnelle mais aussi une opportunité pour l’équipe italienne de retrouver les sommets de la Formule 1.
